Un voyage ça commence dans la tête. La destination n’est qu’un prétexte pour commencer à rêver. L’important c’est ce qu’on en retire, autant de l’avant, du pendant que de l’après. Des projets que l’on échafaude, certains sont accessibles, d’autres pas. Partir ou ne pas partir ? Voilà la question, la réponse n’en tient parfois qu’à nous. Depuis plus de 10 ans je rêve sporadiquement d’aller au Népal, aux Himalaya, dans la région de l’Everest. S’il est un endroit inaccessible à mes yeux, s’en est un. Ça coûte cher, c’est loin, c’est difficile, c’est tout ça et plus encore. Mais un jour de septembre un déclic se fait, je ne sais pas ce qui s’est produit, mais j’ai décidé de partir. Six mois de préparation avant le grand jour, pas un an, pas deux ou trois, ce sera lors de la prochaine saison propice au trekking.